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Dans la danse agitée qui a suivi le big bang, ce bouillon quantique si peu connu, l’union des éléments hydrogène et oxygène a créé la source de toute vie: l’eau.
Aujourd’hui nous savons que seul le 3% du total des eaux de la Terre appartient à la catégorie d’eau douce. Catégorie tellement vitale qu’il me vient l’envie de me battre devant un gaspilleur de cette eau. Pire, face à la pollution je crie «au secours!»
Alors comment réagir en apprenant par la lecture du «20 minutes» (du 19 juin 2017, qui relayait une note de la «NZZ am Sonntag») qu’un cinquième des échantillons prélevés pour analyse contient, en Suisse, un taux de pesticides supérieur à la limite de 0,001 milligramme toléré par litre? Et devant le trop d’hormones, le trop de ceci, le trop de cela qui à la longue perturbera sérieusement la vie des espèces, que faire? Les voix éparses, telle la mienne et tant d’autres, compteront-elles dans la balance de l’équilibre vital?
Mon Dieu ! Quelle eau laisserons-nous à la descendance!