| 2006 | 2007 | 2008 | 2009 | 2010 | |||||
| 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 | |||||
| 2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | |||||
| 2021 | 2022 | 2023 | 2024 | 2025 | |||||
| + nos 100 ans d'archives, de 1905 à 2005 ! | |||||||||
Rechercher un seul mot dans les articles : |
|||||||||
Avril 2021
signalée par : Yvette Humbert Fink
Le confinement quasi planétaire a eu des effets inattendus. Les animaux, aussi bien captifs que sauvages, ont profité d’une paix retrouvée pour se remettre à faire des bébés. Les pandas du zoo de Hong-Kong se sont accouplés profitant de l’absence de visiteurs. Les tortues marines chassées des plages trop fréquentées par les touristes, sont revenues déposer dans le sable des millions d’œufs. Mais, la nouvelle que nous avons à cœur de partager avec les lecteurs de l’essor provient d’une étude scientifique publiée en avril. Les océans feraient preuve de «résilience». Le nombre d’espèces marines menacées d’extinction serait en diminution, passant de 18% en 2000 à 11% en 2019. Si nous agissons de manière intelligente, il serait alors possible de sauver toutes les formes de vie marine d’ici à 2050.
La rédaction de l’essor