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Octobre 2013
L’homme responsable de la détérioration du climat
Lu par : Rémy Cosandey

[selon le G.I.E.C.]

Dangers pour notre planète

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est un organisme intergouvernemental (créé en 1988), ouvert à tous les pays membres de l'ONU. Il «a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation. Il n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre l’évolution des variables climatologiques ou d’autres paramètres pertinents. Ses évaluations sont principalement fondées sur les publications scientifiques et techniques dont la valeur scientifique est largement reconnue».

Prix Nobel de la Paix en 2007, le GIEC peut être considéré comme une centrale d’alerte. Au cours des années, son analyse, loin de s’en tenir à la langue de bois des organisations internationales, ne cesse de dénoncer l’aggravation de la situation, le réchauffement climatique et la responsabilité de l’homme. Il vient de publier le 27 septembre dernier un rapport alarmant qui devrait réveiller les gouvernements, plongés dans une profonde léthargie lorsqu’il s’agit d’environnement et d’avenir de notre planète. Ce premier volet du 5e rapport d’évaluation du GIEC est consacré aux éléments physiques du climat et évalue les aspects scientifiques du système climatique et de l’évolution du climat.

A quels types d’impacts faut-il s’attendre à l’avenir?

La réponse à cette question fait froid dans le dos.

Quels seront les impacts par grands secteurs?

Quels seront les impacts régionaux?

Ce rapport du GIEC est effrayant. Une seule alternative s’offre à nous: vivre plus simplement ou mourir dans l’opulence.

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