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«Ils quittent un à un leur pays, loin de la terre où ils sont nés», dit la chanson.
Ce n’est plus un secret de polichinelle, le fossé entre riches et pauvres atteint des profondeurs abyssales. Le flux migratoire est porteur de ce terrible constat. Les leaders politiques et économiques se gardent bien d’évoquer cette plaie béante.
Cela remet en question une économie où tous les coups sont permis, où la vie à ras des pâquerettes n’est plus que de la marchandise.
Comment voulons-nous que cette hémorragie migratoire s’arrête? En ne mettant en branle qu’une économie basée sur un partage équitable des richesses. Or, nous en sommes aux antipodes actuellement. Un partage équitable réduirait ou rééquilibrerait une migration séculaire qui fait partie de ce besoin chez l’être humain de découvrir un ailleurs géographique, historique, culturel, social, économique.
Aujourd’hui, nous sommes dans l’idolâtrie de l’argent et toutes les perversions que cela entraîne détruisent le tissu humain et social. 200.000 réfugiés en 2030?
À méditer.